En 1998, il réalise son premier graffiti à la bombe. S’en suivront plusieurs années de pratique, au cours desquelles il explorera les multiples disciplines que comprend le graffiti.
Affinant son style au fil du temps, ses influences se diversifient, notamment vers 2015, lorsqu’il côtoie le milieu du tatouage, qui l’amènera à découvrir les arts japonais.
Omouck nous propose aujourd’hui une immersion dans son univers UKIYO.
S’inspirant des estampes traditionnelles japonaises — combats, geishas, ou instants suspendus du quotidien — il apporte à ces thèmes classiques une touche urbaine et résolument contemporaine.